Art de la verrerie, de neri, meret et kunckel
auquel on a jpouté Le sol Sine Vefte D'Orschall; L'heliofcopium videndi fine vefte folem Chymicum; Le sol non sine Vefte;
Le Chapitre XI. du Flora Saturnizans de Henckel, Sur la Vitrification des Végétaux; un Mémoire fur la mnaier de fairele Safffre; Le secret des vraies porcelaines de la Chine & de Saxe
Ouvrages
Ou l'on trouvera la maniere defaire le Verre & le Cryftal, d'y porter des oCouleurs, d'imiter les Pieeres Prétiefes, de préparere & colorer les Emaus, de faire la Potagge, de Peindere fur la Vrre, de prérarer des Vernis, de compfoser des COuvertes pour les Fayances & Porteries, d'extrarie la Couleru Pourpre de l'Or, de contrafaire de Rubis, de faire le Saffre, de faire & peindre les porcelaines, &.
Ttraduits de ll'Allemand, par M.D.***
[d'Holbach, Paul Newark Dietrich]
A Pais, ches DUraz, rue St. Jaceus, au Groffon Pissot, Quait des Auustifns, á la Sageffe
M. DCC. LII
Acec Approbation et privileges Du roi
Art de Verrerie, .A Pais
[.Ant J Johann )
De Neri Merret et Kunckel.
Auquel on a ajoute
Le Sol Sine Vefte D’Ors ch A LL;
L’Heliofcopium videndi fine vefte folem Chymicum ;
L e Sol Non Sine Vefte ;
Le Chapitre XI. du Flora Saturnizans de Henckel,
Sur la Vitrification des Végétaux ;
U n Mémoire fur la maniéré de faire le Saffre ;
Le Secret des vraies Porcelaines delà Chine & de Saxe;
Ouvrages
O U l'on trouvera la maniéré défaire le Verre & le Cryftal, d'y porter des Couleurs f d'imiter les Pierres Prétieufes , de préparer & colorer les Emaux , de faire la Potaffe, de Peindre fur le Verre , de préparer des Vernis, de compofer des Couvertes pour les Fayances & Poteries, d'extraire la Couleur Pourpre de l'Or, de contrefaire les Rubis, de faire le Saffre, de faire & peindre les Porcelaines, &c.
Traduits de l’Allemand , par M. D * * *#
A paris
J Durand, rue St. Jacques, au Griffon. Chez Pissot, Quai des Auguftins, à la Sageffe,
M. D C C. L I I.
Avec approbation et privilege du roi
monsieur De Lamoignon
De Malesherbes Premier Préfident de la Cour des Aydes,
Monsieur,
C’e st le defir que vous avez témoigné de voir paroître en François les meilleurs Ouvrages des Allemands qui ma fait entre-prendre la Traduction que je prens la liberté de vous offrir. Les droits que vous avez, à cet hommage ne /ont point équivoques : t^ous connoifiiez,, JVLo nsi eur , le grand nombre d’excettens Livres qui refioient inutiles aux Scavans de la France, parce qu’ils ét oient écrits en une langue difficile & peu cultivée dans ce Royaume : Kout fenticz, l’importance de leur ouvrir des foutces où ils navoient point encore puifé ; je dai donc fait que féconder un zèle fi louable iy des intentions fi avantageufes à la Société. Je ni efilmerai fort heureux, fi mon travail peut mériter le fuffrage d’un JVLagist rat que fon amour pour les Sciences doit rendre encore plus cher 4y plus recommandable à fa Patrie que le rang difiingué qu’il y occupe.
Je fuis avec le plus profond refpect,
Monsieur,
Votre très-humble & très-obéïflànt Serviteur